Jean-François Copé : « Non, la droite et la gauche ce n'est pas pareil ! »
« Si vous revotez pour le Front national, vous ferez passez la gauche, c’est-à-dire l’inverse de ce que vous voulez ». Mercredi matin, lors du point presse hebdomadaire de l’UMP, Jean-François
Copé a lancé un nouveau un appel solennel à l’ensemble des Français et plus particulièrement aux électeurs du Front National pour qu’ils comprennent bien que « la droite et la gauche ce n’est pas
pareil » et qu’en votant pour le plus grand nombre d’élus UMP ils empêcheraient que l’irréparable se produise.
« Non, la droite et la gauche ce n’est pas pareil. Nos programmes sont totalement différents. Celui de François Hollande amène la France dans le mur », souligne Jean-François Copé. « Derrière le plan A des promesses électorales dans tous les sens, se dissimule un plan B, celui d’un matraquage fiscal mais aussi d’un retour au laxisme en matière de sécurité », avertit notre secrétaire général. « Christiane Taubira qui annonce à sa prise de fonction la suppression des tribunaux pour délinquant mineurs puis, hier, la suppression des jurés populaires ; Manuel Valls qui veut mettre en place le récépissé pour tout contrôle d’identité ; Cécile Duflot qui relance l’idée de la dépénalisation du cannabis qui cause pourtant des ravages en matière de santé publique… Les avertissements en matière de laxisme se multiplient ». Raison pour laquelle Jean-François Copé a adressé à nouveau aux Français cet appel solennel « pour que les Français comprennent l’importance du scrutin législatif car dimanche soir il sera trop tard ».
Interrogé par la presse sur les accords électoraux entre formations politiques, Jean-François Copé a fait là aussi le distingo entre la droite et la gauche. « La ligne politique que notre famille politique a défini lundi est appliquée. L’ensemble des personnalités qui ont pris la parole cette semaine en ont apporté la démonstration. Nous n’avons aucune alliance avec les extrêmes alors que le Parti socialiste vit avec le partage des voix et des places avec l’extrême gauche. Le Parti socialiste fait avec le Front de gauche ce que nous ne faisons pas avec le Front national. La grande différence avec le PS est là », tacle Jean-François Copé estimant qu’il n’avait aucune leçon à recevoir de la part de Jean-Marc Ayrault ou de Martine Aubry en matière de morale. « Le PS est allié avec le Front de gauche de Jean-Luc Mélenchon qui brandit le drapeau rouge plutôt que le drapeau français, qui chante l’Internationale plutôt que la Marseillaise, qui revendique son amitié avec Mikis Théodorakis lequel professe ouvertement des propos antisémites, dans des termes extrêmement choquants. Tout cela ne pose aucun problème à la vie quotidienne de Jean-Marc Ayrault et Martine Aubry », déplore Jean-François Copé.
Interrogé également sur le tweet de la première Dame, Jean-François Copé s’est étonné que le monde médiatique s’empare de cette affaire « extrêmement futile. Je me mets à la place des Français qui doivent nous regarder avec effarement. Alors que les situations financières de la France et de l’Europe sont préoccupantes, le seul sujet est ce tweet de la première Dame. C’est délirant ! L’irréparable ce n’est pas l’avenir de la circonscription de La Rochelle mais les conséquences du programme déconnecté des réalités de François Hollande qui va emmener droit dans le mur la France et ses enfants. C’est pourquoi, jusqu’à la dernière seconde je lancerai un appel aux Français pour qu’ils prennent la mesure de la gravité de ce vote », souligne Jean-François Copé qui a salué « le travail fantastique sur le terrain des candidats et des militants » qui témoignent tous d’une mobilisation extrêmement forte démontrant que « les jeux restent totalement ouverts ».
« Non, la droite et la gauche ce n’est pas pareil. Nos programmes sont totalement différents. Celui de François Hollande amène la France dans le mur », souligne Jean-François Copé. « Derrière le plan A des promesses électorales dans tous les sens, se dissimule un plan B, celui d’un matraquage fiscal mais aussi d’un retour au laxisme en matière de sécurité », avertit notre secrétaire général. « Christiane Taubira qui annonce à sa prise de fonction la suppression des tribunaux pour délinquant mineurs puis, hier, la suppression des jurés populaires ; Manuel Valls qui veut mettre en place le récépissé pour tout contrôle d’identité ; Cécile Duflot qui relance l’idée de la dépénalisation du cannabis qui cause pourtant des ravages en matière de santé publique… Les avertissements en matière de laxisme se multiplient ». Raison pour laquelle Jean-François Copé a adressé à nouveau aux Français cet appel solennel « pour que les Français comprennent l’importance du scrutin législatif car dimanche soir il sera trop tard ».
Interrogé par la presse sur les accords électoraux entre formations politiques, Jean-François Copé a fait là aussi le distingo entre la droite et la gauche. « La ligne politique que notre famille politique a défini lundi est appliquée. L’ensemble des personnalités qui ont pris la parole cette semaine en ont apporté la démonstration. Nous n’avons aucune alliance avec les extrêmes alors que le Parti socialiste vit avec le partage des voix et des places avec l’extrême gauche. Le Parti socialiste fait avec le Front de gauche ce que nous ne faisons pas avec le Front national. La grande différence avec le PS est là », tacle Jean-François Copé estimant qu’il n’avait aucune leçon à recevoir de la part de Jean-Marc Ayrault ou de Martine Aubry en matière de morale. « Le PS est allié avec le Front de gauche de Jean-Luc Mélenchon qui brandit le drapeau rouge plutôt que le drapeau français, qui chante l’Internationale plutôt que la Marseillaise, qui revendique son amitié avec Mikis Théodorakis lequel professe ouvertement des propos antisémites, dans des termes extrêmement choquants. Tout cela ne pose aucun problème à la vie quotidienne de Jean-Marc Ayrault et Martine Aubry », déplore Jean-François Copé.
Interrogé également sur le tweet de la première Dame, Jean-François Copé s’est étonné que le monde médiatique s’empare de cette affaire « extrêmement futile. Je me mets à la place des Français qui doivent nous regarder avec effarement. Alors que les situations financières de la France et de l’Europe sont préoccupantes, le seul sujet est ce tweet de la première Dame. C’est délirant ! L’irréparable ce n’est pas l’avenir de la circonscription de La Rochelle mais les conséquences du programme déconnecté des réalités de François Hollande qui va emmener droit dans le mur la France et ses enfants. C’est pourquoi, jusqu’à la dernière seconde je lancerai un appel aux Français pour qu’ils prennent la mesure de la gravité de ce vote », souligne Jean-François Copé qui a salué « le travail fantastique sur le terrain des candidats et des militants » qui témoignent tous d’une mobilisation extrêmement forte démontrant que « les jeux restent totalement ouverts ».